le CSA a bien tenté de censurer TPMP!

A l’époque de « l’affaire cyril hanouna homophobe », le CSA a imposé la sanction la plus importante de son histoire à la chaine C8 (des millions d’euros). Maintenant on sait que la sanction était disproportionnée: le témoin qui aurait été expulsé de chez ses parents suite à l’émission était imaginaire (moi ça m’avait paru bizarre à l’époque qu’il ne témoigne pas et qu’on n’en entende plus parler vu l’ampleur de l’affaire…). De plus, l’association « le refuge » a elle-même jugé cette séquence NON homophobe… plus d’informations sur : https://www.20minutes.fr/arts-stars/television/2382795-20181128-video-canular-homophobe-tpmp-jamais-adolescent-victime-reconnait-association-refuge

Alors pourquoi le CSA a-t-elle voulu censurer TPMP ? Parce que c’est la seule émission en direct en prime time qui a toujours un semblant d’impertinence et pas assez de politiquement correct ? Je pose la question… méritent-ils bien le surnom de « Censeurs Supérieurement Abrutis »? 😉

Le plus étonnant, c’est que quand on tape TPMP dans news.google.com, RIEN sur ce démenti, alors qu’à l’époque c’était une grosse affaire…

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les gilets jaunes: le choc du réchauffement climatique

Je ne vais pas parler ici du traitement médiatique à la télévision du mouvement social, mais du fond du problème: le choc de l’adaptation de la société au réchauffement climatique (et oui j’utilise le terme « réchauffement climatique » au lieu du fade et faux « changement climatique » repris dans les médias, ce n’est pas un simple changement de la météo) et les vraies solutions.

Cette adaptation est non seulement nécessaire, mais elle est de plus bénéfique pour l’humanité: les énergies sales portent bien leur nom (pollution de l’air qui atteint les plus faibles…). La taxe carbone est la seule façon de changer nos modes de vie pour aller vers une société bas carbone, mais ce n’est pas en s’attaquant au prix de l’essence que l’on fera avancer les choses…

  1. le pétrole pas cher n’existe plus et son prix ne fera qu’augmenter (le pétrole facilement accessible est rare, on est obligé d’aller le chercher dans les sables bitumineux…).
  2. Si on veut ralentir le réchauffement climatique, il faut laisser le pétrole restant dans le sol… donc il faut changer tout le parc automobile dépendant au pétrole. Car actuellement si les gilets jaunes ne peuvent pas remplir leur voiture d’essence, si on continue d’utiliser ce pétrole, dans 40 ans ils ne pourront plus manger ni boire… (cf rapport de l’ONU : voir autre article).

La réalité, c’est que cette taxe carbone aurait du être instaurée il y a des années… le choc aurait été moins rude ! Le vrai problème est là : on a trop pris de temps avant d’agir pour une simple raison: le cerveau humain n’est pas capable d’appréhender les dangers de long terme. Un lion nous attaque? Le cerveau envoie de l’adrénaline et nous fait réagir. Les dangers de la cigarette sont connus mais on fume quand même ? on s’en fout, on verra dans 30 ans… on apprend qu’on meurt dans les 6 mois si on n’arrête pas de fumer ? là on réalise le danger et on agit. Soyons conscient de nos faiblesses pour ne pas disparaître de la surface de la terre… Parce que c’est ce qui nous attend si on n’agit pas fortement dans les 5 ans (les dernières prévisions sont catastrophiques, je pèse mes mots). Là on est en crise car on ne peut pas se déplacer, imaginez quand on ne pourra plus manger ni boire…  On a fait l’erreur monumentale de supprimer l’écotaxe (qui a coûté une fortune aux contribuables à cause des amendes contractuelles…), ne continuons pas à sacrifier l’environnement à court terme, car sinon c’est l’humanité que l’on sacrifie. Si vous ne voulez pas d’une humanité en guerre permanente, qui ne cherchera plus qu’à manger et à boire (ce qui sera le cas dans 40 ans selon un rapport de l’onu) il faut investir.

LA SOLUTION : les gouvernements doivent financer ce combat contre le réchauffement climatique, les accros au pétrole (les gilets jaunes) n’ont pas les moyens d’acheter une voiture électrique (seul moyen d’utiliser les énergies renouvelables dans les transports). Il faut les financer TRES fortement.

On a trouvé des milliards d’euros pour sauver les banques, mais on ne peut pas trouver des milliards pour sauver l’humanité?  Aller chercher les 60 milliards par an de l’évasion fiscale est un bon début… mais faire un « plan marshall européen » contre le réchauffement climatique avec 1000 milliards d’euros est le minimum que l’on puisse faire ! CAR NOUS DEVONS PARTIR EN GUERRE CONTRE LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE QUI EST NOTRE ENNEMI COMMUN ! Dans toutes les guerres, on a réussi à transformer toute la société, toutes les usines pour un but commun… pourquoi ne peut-on pas le faire ? Si on ne part pas en guerre contre le réchauffement, on partira en guerre entre nous du fait de la rareté prochaine des ressources de base (eau et nourriture)…

 

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La télévision telle qu’on la connait disparaîtra dans 40 ans!

C’est ce qui se passera si on reste dans les politiques actuelles vis-à-vis du réchauffement climatique (je rappelle qu’en France, les émissions de CO2 ont augmenté de 6% depuis l’élection de notre président de la république…). L’ONU le confirme :

A partager en masse : « Dans quatre décennies, l’homme cherchera d’abord de quoi se nourrir et de quoi boire ! »
Le Monde Economie – Publié le 23 Novembre 2018
« Les experts climat de l’ONU ont publié, le 8 octobre dernier, un nouveau rapport évaluant les dégâts environnementaux et économiques que l’accumulation des gaz à effet de serre s’apprête à engendrer. Ce rapport se termine sur les recommandations habituelles et met l’accent sur l’urgence de voir s’effondrer nos émissions de CO2 d’au moins 45% d’ici 2030 et d’arriver dès 2050 à une neutralité carbone complète. Quand on voit les réactions actuelles, en France, engendré par l’évolution du prix du diesel, on peut se demander si ce signal d’alarme peut être entendu par les populations et les politiciens de notre planète ?
Une enquête sponsorisée mi-2018 par l’ONU et la fondation Bill Gates1 auprès de 3000 décideurs des pays émergents nous offre un éclairage intéressant. Selon cette étude, la problématique climatique n’arrive qu’en 14éme position (sur 16) dans la liste des priorités des leaders gouvernementaux. Ils ne font en cela que de refléter l’opinion de leurs administrés pour qui la problématique climatique apparait en dernière position, bien après la sécurité, la santé ou l’accès à la nourriture et l’eau. Ceci est un énorme écueil car selon une étude publiée en 2017 par le Boston Consulting Group, plus des deux tiers de l’investissement pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris concernent les pays émergents. Un tel effort est insoutenable sans support des pays développés et si un mécanisme de soutien a été décidé lors de la COP de Copenhague, celuici n’a jamais été réellement mis en oeuvre. Ainsi à l’échelle mondiale comme au plan national où le réchauffement climatique n’arrive qu’en cinquième position des priorités du français moyen, les plus défavorisés ne peuvent pas entendre parler de réchauffement climatique. Ils ont bien d’autres priorités.
Compte tenu de cette situation, les dirigeants des pays développés sont dans une voie sans issue. D’un côté ils vont voir la concentration en CO2 continuer d’augmenter et de l’autre, une frange de plus en plus importante de leurs administrés, affectés par les conséquences du réchauffement climatique, va augmenter la pression pour l’obtention de résultats. Que vont-ils faire ?
Lors de la décennie à venir il est probable que leur premier réflexe sera de continuer à perdre du temps comme le gouvernement s’apprête à la faire avec une loi de programmation qui occulte volontairement les deux sujets incontournables que sont le transport et la rénovation
du bâti existant. Ils vont se limiter à bannir l’usage des technologies fortement émettrices et pour lesquelles il existe des moyens de substitution abordables. De grands accords mondiaux interdisant les centrales électriques au charbon, les moteurs diesel pour les bateaux ou les chaudières à fuel seront annoncés comme de grands pas en avant … alors que toutes ces mesures pouvaient être prises il y a déjà trois décennies au moins (source 1 “Listening to leaders : is development cooperation turned in or tone-deaf ?“ – 2018 -Aiddata – Mai
2018.). Autant d’annonces qui auront plus pour objectif de berner la population que d’agir efficacement sur nos émissions de gaz à effet de serre. Ce sera la décennie des bureaux de contrôle et des conseils en communication.
Ces premiers pas seront largement insuffisants et la décennie suivante sera consacrée à réformer les industries pour lesquelles des moyens de substitution existent mais ne peuvent
être mis en oeuvre sans prendre le risque de mettre en péril des dizaines de milliers d’emplois.
L’automobile est le premier exemple qui vient en tête. Pour ce secteur, comme vient de le décréter la Chine et comme l’Europe l’envisage, des quotas seront mis en place pour une
transition administrée. Ce sera la décennie des ingénieurs et des sociétés spécialisées en fusion et acquisition. Il va sans dire que ces évolutions seront beaucoup trop tardives.
Malgré celles-ci,
plus de 100 tonnes de charbon seront extraites chaque seconde lorsque la population des pays
développés, affectée par les canicules et excédée par les vagues de migrants souhaitant quitter
des zones devenant inhabitables, commencera à donner sérieusement de la voix.
Face à la pression de la rue, les politiciens seront sommés d’engager, de gré ou de force, la décennie d’obsolescence planifiée. L’impérieuse nécessité de ne pas perdre totalement le
contrôle du climat permettront aux gouvernements de légiférer en faveur d’un recyclage des millions d’équipements produits et commercialisés à mauvais escient depuis la signature du
protocole de Tokyo … autant de milliards d’investissement qui feront la fortune des ferrailleurs.
Les centrales à charbon de plus de 30 ans et les voitures à pétrole seront sommées de prendre leur retraite au profit de technologies « responsables ». Il n’est pas improbable que des conflits géopolitiques puissent surgir de ce besoin impérieux de résultats. Ces mesures seront hélas inutiles en l’absence d’une reconsidération du mode de développement de notre civilisation.
Dans les faits, seule une analyse globale systémique, visant à définir un nouvel « espace global de fonctionnement sécurisé » et tenant compte des limites physiques que nous imposent
notre planète, a une réelle chance d’aboutir.
Alors qu’adviendra-t-il des Homo Sapiens dans quatre décennies? Le plus probable, à cette échéance de temps, est que le changement climatique sera devenu l’une de leur priorité directe tant celui-ci impactera leurs besoins essentiels. Ils s’adapteront à leur nouvel environnement en utilisant les formidables progrès technologiques que l’humanité va produire d’ici là et en redéfinissant leurs priorités. Ils revisiteront les étages de la pyramide Maslow et chercheront à assurer leur sécurité, à trouver de quoi se nourrir et s’abreuver …. et les plus chanceux auront la chance d’avoir un conjoint à qui écrire des poèmes et avec qui ils pourront discourir de la beauté d’un nouveau monde. »
2 Operationalizing Sustainability as a Safe Policy Space – Lauriane Mouysset, Luc Doyen, François Léger,
Frédéric Jiguet, Tim Benton (CNRS) – Octobre 2018
Si on ne fait rien MAINTENANT, la télévision sera le moindre de nos soucis…
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Marre de la propagande pro nucléaire sur le service public

Je ne peux plus supporter d’entendre des contre-vérités de la part de soi-disant « experts »… Là c’est dans le débat après l’émission « avenue de l’europe le mag » du 21 novembre. « L’expert » Mr Philippe Chalmin qui est un « spécialiste des matières premières » se permet de parler du domaine de l’énergie… cherchez l’erreur. Là où il m’a fait bondir, c’est quand il affirme « le recyclage des panneaux solaires on sait pas faire », alors que si, on sait faire… pvcycle.fr . Et par dessus le marché, il en profite pour faire un laïus pro-nucléaire « elle a un avantage carbone incontestable (…) il faut être pragmatique et non pas dogmatique ». Considérer le nucléaire comme une énergie verte est assez fantaisiste à mon avis (risque nucléaire, stockage de déchets dangereux, plutonium importé, coût faramineux, pauvre en carbone mais pas décarbonée comme il l’affirme… rien de tout cela dans les vraies énergies vertes: les énergies renouvelables).

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6ter se fout encore de notre gueule

Et allez , encore une déprogrammation sauvage d’une chaîne privée ! la série « siren » (pourtant bien notée sur imdb ) a été sauvagement déplacée à deux heures du matin au lieu de 22h45, et ce SANS AUCUN MESSAGE !! Ce n’est que grâce à mon programme en ligne que j’ai su la nouvelle heure de diffusion!

Et au passage, je viens de voir que la super série-réalité INEDITE « hotel inspector » (« cauchemar en cuisine » pour les hotels) est diffusée à 3 heures du matin!! Alors que les bouses rediffusées dans la journée sont légion… il boit trop le directeur de la programmation chez 6ter ? 😉

Et pour enfoncer le clou de l’irrespect… la série « hotel inspector » n’est PLUS disponible en REPLAY! Je HAIS profondément 6ter et son irrespect du téléspectateur !

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