Rentrer dans un univers virtuel, c’est-a dire passer du mode passif au mode interactif, c’est ce que propose la réalité virtuelle.
En exclusivité sur l’europe, La société virtual tour propose des séances de réalité virtuelle au café City art café, boulevard de la bastille. 10 euros la session, 15 les deux avec un (bon) cocktail martien.
Moi qui ait toujours voulu essayer (bavant devant les reportages), je suis allé faire un tour.
La charmante animatrice m’explique qu’il y a deux choix : une visite d’une cité medievale et un amarsissage (équivalent d’un atterissage sur MARS)
Etant motivé, je fais les deux, en commencant par la visite de la cité.
On met le casque sur la tête (qui s’adapte aussi aux porteurs de lunette) et on a deux écrans en face des yeux qui nous permettent d’admirer un décor de cité médiévale. En plus du casque qui nous permet de changer la perspective de la vision (si on tourne la tete à droite, on observe ce qui se trouve à droite et vice-versa), on a un joystick simplifié avec 3 boutons (avancer, reculer, sauter). On se retrouve immergé dans un autre univers pendant 7 minutes.
La cité médiévale est un vrai labyrinthe, mais j’ai pu découvrir des passages cachés (portes à ouvrir…). Beaux graphismes, bien que la résolution de l’écran soit limitée
(compréhensible vu le prix de l’équipement qui doit atteindre des dizaines de milliers d’euros)
Tres Beau voyage.
Pour les amateurs de challenge, le deuxieme tour est plus interactif. On se retrouve sur Mars et on doit sauver la station spatiale en rebranchant les générateurs.
La gravité est différente sur mars evidemment ce que l’on peut voir quand on saute (plus haut et plus loin).
Un peu difficile de s’y retrouver dans le dédale, mais je reussis à trouver les manettes et à réussir la mission dans le temps imparti !
Là, l’animatrice me dit :
-« Alors la je suis impressionné… tu es le quatrieme qui y arrive. »
– Je reponds: « oui, mais quatrieme sur combien? »
– Elle me repond: « six mille! »
La je suis mort de rire. Je suis habitué aux mondes virtuels (quake3, counterstrike,…) donc je suis parti avec une longueur d’avance, mais de la à me retrouver dans les 0.06 % de vainqueurs, j’étais sur le cul.
Comme quoi un télévore est habitué aux univers virtuels 😉