L'ile de la tentation : Le mufle rit

Je reprends enfin le décryptage de l’ile de la tentation 2007. J’ai réussi à faire un blackout total sur la fin de l’émission en enregistrant ce qui la concernait (dur) en attendant. Dans ce 4 ème épisode, Ben s’affirme comme le plus grand mufle jamais vu à l’écran, les filles commencent à faire tomber leurs inhibitions et olivier se fait manipuler comme une marionnette.


Voix-off : « Fiona est encore sous le choc des images de ben. De retour à esmeralda, elle décise de s’isoler dans sa chambre » : encore un dialogue virtuel: on n’entend rien mais il est supposé dire: « salut. Ca n’a pas l’air d’aller, C’est ce que tu as vu au feu? » Elle répondrait « ouais » lui dirait: « Tu veux qu’on en discute? » mais moi tout ce que j’entends (pourtant j’ai bien ouvert mes oreilles) c’est « Comme tu veux » de fiona. Ou comment créer une qualité d’écoute chez le tentateur qui n’existe pas …

Voix-off :  » Blessée par ce qu’elle a vu , fiona a soudain des doutes sur l’amour de ben ». Elle confirme: « Il y a des gens qui m’ont aimé quand même ça j’en suis persuadée. Je sais que ben m’a aimé, mais je pense qu’il m’aime encore ». Si la production a réussi à la faire douter de l’amour de ben, passe encore, mais qu’elle la fasse douter sur la sincérité de ses relations passées, c’est du jamais vu !
Fiona, peut-etre le lendemain (il fait jour) commente : « Meme s’il est super blessant, ce que ben et moi je recherche c’est qu’on est là mutuellement. (…) On a connu des coups durs et on était toujours là. J’ai envie de lui parler parce que j’ai l’impression qu’il y a que lui qui me comprend ». En étant méchant, je lui dirais: « ne t’en fais pas, si ben peut y arriver, n’importe qui le peut » ;). En fait elle devrait prendre une assurance, au moins un assureur ne la blessera pas… Si le couple est basé seulement sur l’entraide mutuelle, il est fragile.

Le montage est excellent dans la séquence : Elle dit « OK, je suis amoureuse de ben, ça m’a fait souffrir je me dis que ça en valait le coup ça m’énerve que l’on dise que… et coupure au montage. Elle ne finit pas ses phrases ? « Quand on aime quelqu’un c’est pas pour souffrir » . Là il y a un travelling bizarre (en regardant les images, j’en déduis que c’est une caméra pilotée, plus discrète que des caméramans, la production a mis les moyens cette année), puis une fois que l’on a atteint cette position de caméra, il y a une autre coupure au montage (on voit les personnes changer instantanément de position) puis on voit Fiona dire: « je souffre plus ». Fiona explique (il fait jour, donc ça peut être le lendemain) »dans toutes les histoires j’ai souffert et je me dis que de toute façon je souffrirais toujours. Et autant souffrir pour avoir des moments intenses. J’ai jamais autant aimé quelqu’un que ben. Et même si au début il m’a fait souffrir, je sais que maintenant non » : C’est pas ce qu’elle est en train de faire (souffrir)? Je ne comprends pas cette vision du couple fataliste… Les histoires d’amour finissent mal en général et encore plus sur l’ile de la tentation ? Elle est allée vers ben contre la pression sociale: « Mes meilleurs amis ils m’ont dit: « Si c’est ce que tu veux vivre avec ben, vas-y fonce » , pas être malheureuse hein. » Je comprends qu’elle reste avec lui afin de garder la face…

La voix-off dénigre fiona : « tandis que Fiona continue de croire malgré tout à sa relation avec ben, Jimmy s’en va déçu de ne pas avoir réussi à lui ouvrir les yeux ». Fiona décide de faire la fête pour essayer d’inhiber sa souffrance: « J’ai besoin de penser à rien et de profiter du moment présent ». Joanna aussi se met à oublier ses inhibitions (ou l’alcool a aidé) et danse sur les tables: elle commente: « Le fait de danser et se lacher complétement, c’est comme si on lachait prise, c’est comme si on s’appropriait vraiment les tentateurs ». Puis c’est à Carine de se lâcher: « J’apprends à me détacher à ce qui me relie avec olivier (…) Ca me permet de voir où je peux aller, de voir sont comportement par rapport à ce que je fais ici’. Si elle cherche l’escalade, elle va l’avoir… La production a réussi à les déshiniber toutes les deux. La voix-off conclut par: « Carine emmène jamel avec elle et disparaît dans la nuit », comme si il la prenait de force… elle ne faisait que marcher à coté de lui !

Le choix des tentatrices préférées

– Ben choisit stéphanie « son ange-gardien sur l’ile  »
– Anthony choisit inès, et comme ce n’est pas sa préférée, la présentatrice lui demande pourquoi « je pourrais la choisir plus tard ».
– Olivier choisit Elsa, la comique de la troupe selon lui « c’est elle qui me fait toujours rire ».

Coup de théâtre: Les tentatrices qui sont souvent des potiches, doivent désigner le couple qui se rapproche le plus de la tentation. Elles choisissent « ben et stéphanie ». Ces deux-là gagnent un rendez-vous de 24 heures… La production veut vraiment casser le couple de ben ?

Le choix des tentateurs

Une fois de plus, le choix des femmes est accéléré: « Fiona choisit jimmy, carine choisit jamel, joanna désigne pietro , elise choisit cédric » et c’est tout… Les femmes ont moins de choses à dire ou la production de cette année est macho ?

Carine et jamel

Ils font du catamaran. Rien de particulier, à part le fait qu’il n’y ait rien de particulier 😉
La voix-off délire un peu dans la transition avec olivier : « Tandis que carine tombe sous le charme de jamel, olivier lui part en rendez-vous avec elsa, déterminé à ne pas franchir les limites qu’il s’est fixées avec carine ». Je n’ai pas vu grand-chose chez carine qui montrerait qu’elle tombe sous le charme, encore un délire de la production.

Olivier et Elsa

Il est aussi déterminé à ne pas tomber dans les pièges de la production : Il a refusé de se faire masser par Elsa et a demandé une professionnelle (du massage, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit 😉 ). O: »Je me mets à la place de ma femme, ça me plairait pas ». On apprend ses motivations:  » C’est de montrer au gens et à notre belle-famille qui disent que c’est un couple qui va pas durer qu’ils se plantent. (…) Je suis là pour prouver que je suis un homme de confiance qui est pas là pour être tenté ». C’est donc la reconnaissance sociale de sa fidélité qu’il cherche…

Ben et stéphanie

Ben continue dans la muflerie et continue à comparer sa femme et stéphanie : « Tu as beaucoup de points communs avec ma femme » « Ma copine est charmante et Stéphanie est belle et charmante. Je dis pas que ma copine est pas belle, physiquement elle l’est un petit peu moins ». Cassé… Je veux voir la réaction de sa femme quand elle entendra ça… 🙂
Stéphanie lui bande les yeux et pour le tester, lui fait un doigt d’honneur en lui demandant combien il y a de doigts… super raffiné. Ils ont droit à l’hotel de luxe.

Fiona et jimmy
Voix-off: « Au moins où ben vit un véritable conte de fées avec stéphanie, Fiona part avec Jimmy pour un rendez-vous placé sous le signe de la sensualité ». Les contes de fées ne sont pas réels… surtout sur l’ile!
Dans une élégance et une politesse rare, Jimmy laisse Fiona monter l’escalier devant lui… et en profite un peu: F: »n’en profite pas » J: »trop tard, Je suis un gentleman, je vais regarder tes épaules bien sur » (il se racle la gorge, l’équivalent de se croiser les doigts quand on ment…). Ils ont droit au massage mutuel (il la masse), une des prestations les plus efficaces pour la séduction: relaxation et sensualité assurée…

Voix-off: « Jimmy tente une nouvelle fois d’ouvrir les yeux sur sa relation » La production adore cette expression: « ouvrir les yeux », comme si son amour la rendait aveugle… (ok, l’expression « l »amour rend aveugle » a des réalités psychologiques).
Il essaye de lire un poême en jouant la comédie… mais il n’a pas fait l’actor studio. Il attaque fort : « je suis sur que tu peux trouver beaucoup mieux, car tu mérites mieux. Ca vaut le coup de se détruire? Tu vas gagner quoi à la fin ? Quand tu seras en lambeaux… » F: »Pourquoi je serais en lambeaux? » J: »(…) parce que ça se voit que tu n’es pas heureuse » F: »Ca m’énerve qu’on me parle de ça ». Jimmy en rajoute: « ta relation n’est pas épanouissante » Il a gagné : à force de la critiquer, il la perd: « Non. Bon à part ça? (…) J’ai pas envie d’en parler. Je continuerais à vivre ce que je vis, à penser ce que je pense et on verra. Et ça c’est mon problème ». Il a perdu toute crédibilité envers elle : « Je supporte pas qu’on me juge ». Non seulement il n’est pas psychologue en utilisant des mots très forts comme « détruire » ou « en lambeaux », mais en plus il insiste lourdement en affirmant qu’elle a tort.
Elle reconnaît toutefois qu’elle est peut-être dans l’erreur: « Tant pis s’il m’a fait souffrir, tant pis si tout le monde m’a dit que c’était un con, je m’en fous. je voulais la vivre. »

Ben et stéphanie
Durant le repas, nous avons droit à une conversation digne de « greg de millionnaire » qui disait « je suis dur de partout ». 😉 C’est ben qui lance le sujet: »Je me demande si on s’entendrait sexuellement »
morceaux choisis :
– S: « Avec mon ex c’était l’extase, mon autre ex, c’était le septième ciel » C’est lequel le mieux ? L’extase ou le septième ciel? 😉
– S: « Quand j’arrive à te connaître, physiquement, je suis très joueuse. Quand je sais où taper, je vais te taper, au bon endroit. » Ah bon, elle fait dans le sado-maso aussi?
– S: « J’adore faire attendre, faire languir, je passe sur le côté, je repasse sur le coté, tu vas dessus ou tu repasses sur le coté ». Je vous laisse imaginer ce qu’elle peut bien faire…
– S: « Sexuellement je suis très maniable, très très souple. Je suis pas compliquée non plus » On dirait qu’elle parle d’une voiture!
– S: « La position normale, je sens rien. Quand je suis sur le …, cherche pas je sens rien » Ben est très subtil: « tu ressens rien du tout du tout, c’est comme si on t’enfonçais un coton-tige? Meme si elle est grosse? C’est fou ça, tu as un point G quand même? » Comme si c’était obligatoire de le savoir… S: »Je sais pas » Ben: »Ben quand même » Ca fait ben ben… (un hasard) « J’ai des petites sensations oui »
– S: « celle que j’aime beaucoup toi tu es allongé, moi je suis allongée sur le ventre et toi tu es derrière. » « ouais, celle-là elle est pas mal ». Et il n’en rate pas une: « par contre, tu es différente que ma femme sur ça » (au passage une belle faute de grammaire). « tout l’inverse de toi sexuel » Il commente le lendemain : « Stéphanie ne réagit pas pareil au lit que ma femme, elle a pas les mêmes attentes, les mêmes zones érogènes » J’espère qu’il veut dire qu’elles n’ont pas la même sensibilité, parce que toutes les femmes ont les mêmes zones érogènes… à moins que stéphanie soit un extra-terrestre? 😉 Il devrait faire attention à ce qu’il dit parce cette phrase sortie du contexte peut impliquer qu’il a « testé » stéphanie… 😉
Voix-off: « Déjà au plus proche de la tentation, jusqu’où iront ben et stéphanie? » Jusqu’où ira la production dans le voyeurisme? Parce que cette conversation intime est assez personnelle…

Le feu de camp

Lindsay

On revient dans le feu de camp individuel. On voit joanna dire quelque chose qui ressemble à : « j’espère que lindsay vit l’expérience pleinement, comme moi avec.. pas parce que je pense aujourd’hui, j’espère qu’il le vit comme là je suis là ». Je l’ai repassée plusieurs fois comme je ne voyais pas le sens de la phrase, mais il n’y en a pas apparemment. On la voit danser ensuite debout sur une table. Elle continue: « Je pense pas que mon comportement a changé, mais ma façon de penser a changé un petit peu. Forcément ça joue sur les sentiments que je peux éprouver, la façon d’être ».
Lindsay ne réagit pas: « Je la vois faire la fête comme moi je fais la fête. Elle dansait comme elle sait faire. Elle était rayonnante. (…) Je ne voyais qu’elle (…) Ca me fait du bien de la voir. J’ai un manque physique et psychique ». Il est encore en phase fusionnelle. Comme les images n’ont pas fonctionné, elle s’attaque à lui: « Qu’est-ce que vous avez appris sur vous-même? » « Ca me fait grandir (…) C’est aussi pour ça que joanna est venue ici, parce qu’elle a envie de voir un homme, ce que je suis en train de devenir.  » En fait, elle voulait gagner de la confiance en elle-même …

P: « Est-ce que vous avez changé? » L: »J’apprends à ouvrir mon coeur, j’apprends à parler plus de moi et de joanna (…) Quand joanna va me revoir, elle va se dire: « putain, il m’aime vraiment » ». En fait ce dont il avait besoin, c’est d’une tierce personne (comme un psychologue ou un psychiatre) afin de s’ouvrir. Il conclut: « Dans l’amour rien n’est acquis, mais je ne pense pas que joanna me trompera ». Sagesse…

Anthony

On voit lise dire: « Je pense que ce qui me fait le plus peur peut-être, c’est notre quotidien. De me dire que je vais retourner à lille et que ca sera plus comme avant en fait. C’est cette habitude qu’on prend mais qui ne nous dérange pas, pour moi c’était pas vraiment un heureux signe de voir anthony tous les jours, de le voir tous les jours, d’être avec lui tout le temps. Souvent, je pense que quand je vais rentrer à lille, ce sera surtout de la nostalgie en fait de me dire qu’avant on était toujours à deux et que maintenant je vais devoir retrouver une autre vie, un autre quotidien, celui que j’avais avant de le connaitre. » C’est clair, elle aurait pu chanter : « anthony c’est fini, et dire que c’était presque mon premier amour ».
Il commente: « Elle disait qu’on vivrait pas ensemble. (…) A mon avis, elle a du voir des images de ce qu’il se passe ici (…) de moi avec julia » Au moins il est conscient de sa culpabilité. La présentatrice doit lui faire dire pour ceux qui n’ont pas vu les épisodes précédents: « qu’est-ce qu’il s’est passé avec julia? » A: »On s’est embrassé, c’était une pulsion, c’était pas grand-chose » Je me sens bien et je ne pense pas à lise et (…) forcément j’oublie que je suis là pour résister. J’ai succombé à une tentation maintenant je ne pensais pas qu’elle aurait réagi comme ça quand même ». A quoi s’attendait-il? A un gros calin ?
Il conclut: « Je ne sais pas ce que je dois faire ». Il n’y a plus rien à faire…

Olivier
Dans la vidéo, on voit carine en train de danser sur une table avec un tentateur. Quand elle descend elle prend la main du tentateur. Pas de quoi fouetter un chat, mais olivier n’aime pas les chats: il part dans un délire…
il commente: « J’ai vu carine en train de danser puis partir main dans la main je sais pas où » Il imagine une suite à ces images « C’est un petit peu la fin qui me perturbe. La main dans la main j’ai pas trop apprécié » . Là il s’embarque dans un déluge de questions qui reprennent ce qu’il vient de dire auparavant, un peu comme si on répondait « pourquoi » à chacune de vos phrases…
– P: « Pourquoi ca vous perturbe cette image » O: »c’est assez ambigu, il y a de quoi s’imaginer des choses »
– P: »vous vous imaginez quoi? » O: »on peut se demander ce qu’ils vont faire après, où ils partent, ce genre de questions ».
– P: »Quelles questions? » « La question c’est de savoir si c’est une fille forte dans sa tête pour résister »
– P: « résister à quoi? » « résister à la tentation »
– P: « ce soir vous vous dites quoi? » « honnêtement Je me dis: peut-être bien que non, peut-être bien qu’elle est pas assez forte. Ca me fait un petit peu douter. Ca me fait un petit peu douter.  » S’il le dit deux fois, est-ce que deux fois « un petit peu », ça veut dire beaucoup? 😉 « Avant de partir dans cette expérience, on s’était dit: il y a des choses qu’il ne faut pas faire. Les calins, la main (…) tout ce qui est tactile… et là je me rends compte que oui, il y a de quoi se poser des questions. Ce genre d’image là c’est pas des images de couple. A la limite c’est un couple mais c’est pas le mien ». Il réussit à créer un couple mentalement avec un simple geste… et ça le met en colère: « Qu’elle fasse ce qu’elle a à faire mais sans moi, là c’est une fille que je connais pas. C’est une fille que je connais pas ». Non, je n’ai pas déliré sur mon clavier, il répète bien deux fois les choses…

La présentatrice, voyant qu’il part en sucette essaye de le calmer: « Est-ce que vous pensez que votre réaction n’est pas disproportionnée par rapport aux images? » O: »Non je ne pense pas parce que carine sait très bien ce qui me blesse comme moi je sais très bien ce qui la blesse ». La production a un retour de flamme : à force de prêter des intentions machiavéliques à son partenaire, il est tombé dans le panneau … « La fidélité ça compte énormément pour moi et ma confiance une fois. La confiance je la donne une fois mais pas deux. (…) Il n’y a pas de pardon possible. La vie c’est très court il faut profiter de chaque personne: si je vois une personne trop faillible pour moi je la mets à l’écart et je continue mon chemin. Dans la vie on n’a pas le temps de s’attarder sur les faibles. » Je n’adhère pas à sa philosophie de la vie : la loi du plus fort. P: « vous pensez que carine elle pourrait être faible? » O: »Oui je le pense, au début j’étais pas sûr mais plus les images elles travaillent dans ma tête, plus je le pense. » L’imagination rend parano…

Voix-off: « Olivier revient vers diamantek, obsédé par les images de carine » « C’était horrible. La vie de ma mère je suis dégouté, parce que que je l’ai faite pour elle cette putain d’émission. Tu crois que ça m’intéresse de montrer ma gueule ici, sérieux? Serieux j’ai trop honte pour elle. La pauvre, l’affiche. Sale p*te!. Il y en qui vont commencer à pêter les carreaux, il y en a qui vont commencer à s’arracher les cheveux, moi je réagis comme ça. Elle m’a dit: sur l’ile ce qui me fait peur, c’est pas tes gestes, c’est tes mots. Moi elle veut rentrer dans ça, elle me fait souffrir, moi je la (pause) commenchebchantar ». Non, mon chat ne s’est pas promené sur le clavier, c’est ce que j’ai compris… (malgré de nombreuses écoutes). C’est peut-etre une langue étrangère…

La production a trouvé son point faible: olivier. Il en a fallu peu pour qu’il s’enflamme…

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